17/11/2014
La démocratie, les subsidiarités et le cerveau
La démocratie suppose la nécessité de l’existence d’une autorité comme force morale. Un peuple n’est pas une masse, et si un État démocratique est laissé aux caprices arbitraires de la masse, l’égalité dégénère en un nivellement mécanique, en une uniformité sans aucune nuance.
Il ne peut survivre, dans cette démocratie, d’une part que des victimes trompées par la fascination apparente de la démocratie que, dans leur ingénuité, elles confondent avec ce qui en est l’esprit, et d’autre part, que des profiteurs ayant su, grâce à la puissance de l’argent ou de l’organisation, s’assurer une condition privilégiée et le pouvoir lui-même .
Mais il faut aussi le respect du principe de subsidiarité, et même d'une subsidiarité particulière qui est la subsidiarité descendante ou négative,ou encore "fonction supplétive de toute collectivité".
Si on oublie ces principes on risque d'avoir des voitures pour faire 500 mètres, une motorisation excessive de tous les déplacements, des supermarchés en périphérie des villes, trop peu de commerces de proximité , un étalement urbain non maîtrisé, une agriculture qui consomme plus d'énergie qu'elle n'en produit tout en étant responsable d'un certain nombre de maladies, des cerveaux qui ne trouvent pas un environnement idéal pour un développement complet et harmonieux, des systèmes de retraite dont on savait dès le départ qu'ils ne pourraient tenir leurs promesses, des pollutions de toutes sortes et une consommation d'énergie insensée.
23:31 Publié dans Neurosciences, Vie en société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cerveau
19/07/2011
Pollution atmosphérique et cerveau
La pollution atmosphérique liée aux particules nuirait aux fonctions cognitives, provoquerait des comportements dépressifs et modifierait la morphologie de l'hippocampe et l’expression des cytokines hippocampiques.
22:12 Publié dans Pollution | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pollution atmosphérique, particules, cerveau, cognitions